VRAI ou FAUX ?
- Les forêts nous aident à respirer.
- Toutes les forêts se ressemblent.
- Les arbres peuvent parler entre eux.
- Il y a autant de forêts aujourd’hui qu’avant que les humains arrivent sur la planète.
- Les forêts les plus touchées par la déforestation se trouvent en Europe.
1 – VRAI
Les plantes, et notamment les arbres, captent un gaz qui s’appelle le dioxyde de carbone (CO2). Les arbres absorbent le CO2 et rejettent de l’O2, de l’oxygène, que nous respirons ! On appelle les forêts les poumons verts de la planète.
En captant le CO2, elles nous aident aussi à lutter contre le réchauffement climatique: lorsque l’on utilise des énergies fossiles, du pétrole par exemple, pour se déplacer, fabriquer nos vêtements et nos téléphones, chauffer nos maisons, du CO2 est rejeté dans l’atmosphère. Plus la quantité de CO2 dans l’air est importante, plus le climat se réchauffe, il faut donc préserver nos forêts !
2 – FAUX
Il existe toutes sortes de forêts, très différentes en fonction des climats. On parle de forêts tropicales, très riches en biodiversité, de forêts tempérées ou encore de forêts boréales, dans les régions froides.
3 – VRAI, ou presque !
Les arbres ne parlent pas comme les êtres humains, mais ils communiquent. Avec leurs racines et grâce aux champignons qui tapissent le sol de la forêt et relient les racines entre elles, les arbres peuvent communiquer en envoyant des signaux électriques pour se prévenir d’un danger.
4 – FAUX
Les humains sont responsables de la disparition d’une grande partie des forêts qui existaient auparavant sur la planète. Depuis que les hommes ont découvert l’agriculture, près de la moitié de la surface des forêts a disparu dans le monde. Elles ne représentent plus que 30% de la surface des terres émergées.
5 – FAUX
Les forêts tempérées et boréales ont tendance à gagner du terrain. En revanche, les forêts tropicales (en Amazonie, en Afrique et en Asie du sud-est) sont en grand danger et pourraient disparaître complétement d’ici la fin du XXIe siècle si on ne les protège pas. C’est un gros problème car elles abritent une infinité d’espèces végétales et animales qui ne vivent nulle part ailleurs.