Terminé en 2016
Agriculture durable et agroforesterie
Familles d’agriculteurs malgaches
Mécénat environnemental
Terminé en 2016
Agriculture durable et agroforesterie
Familles d’agriculteurs malgaches
Mécénat environnemental
Le projet vise une évolution de l’agriculture à travers une restauration globale de l’environnement agroécologique des exploitations et par une intégration de l’arbre dans les systèmes agroécologiques de celles-ci.
Le projet vise à former 1200 familles d’agriculteurs réparties sur 8 communes rurales (Alatsinainikely, Ambohitrambo, Ampahimanga, Ankaranana, Analavory, Arivonimamo II, Imerintsiatosika, Miarinarivo II) à la mise en oeuvre des pratiques agroécologiques et à restaurer 900 hectares de terres dégradées, notamment par la plantation de 500 000 arbres intégrés dans les systèmes d’exploitation.
Le projet vise également à évaluer l’impact sur le changement climatique des pratiques agroécologiques et forestières mises en oeuvre en vue d’imaginer de nouveaux mécanismes de financement des pratiques agricoles durables grâce aux « marchés du carbone ».
La région d’Itasy, située au sud d’Antananarivo est une région à vocation agricole où la culture du riz est prédominante. La proximité avec la capitale permet aux producteurs de profiter d’un grand marché d’écoulement et de réseaux de collecte des produits agricoles structurés.
Bien qu’en partie situés en zone volcanique aux sols relativement riches, les espaces agricoles sont fortement dégradés, les érosions fréquentes et les massifs forestiers en constante disparition. Les systèmes de production agricole sont aujourd’hui en déclin et ont besoin d’évoluer pour pouvoir subsister.
Impacts environnementaux
Impacts socio-économiques
Le projet a débuté en juillet 2011 pour une durée de 4 ans et 9 mois.
Les principaux résultats du projet en mars 2017 :
Des études terrain ont été menées et concernent 3 activités de recherche : le calcul de l’empreinte carbone des exploitations agricoles, l’évaluation du stockage de carbone dans la biomasse ligneuse et l’évaluation du stockage de carbone dans les sols.
Ce potentiel se décompose en 2/3 de séquestration par les plantations, 23% de séquestration dans les sols et 10% de réduction des émissions liées aux pratiques agroécologiques.
Crédits photos : ETC TERRA, Agrisud
Partenaires opérationnels